Pour les picots qui se barrent, pas de problème. C'est à l'endroit ou tu joue avec que c'est réglementé. Sur les côtés je pense pas qu'on puisse te dire quoi que ce soit.
Pour trouver une solution, utilises peut-être une plaque de joueur en prise porte plume, plus courte, pour que tu n'ai pas de picots près de ton doigt.
Ouais, enfin je connais également Arnaud et Guillaume, et je trouve perso que leur choix est un peu dur pour Viro... C'est tout de même un super club qui se développe énormément, et surtout pour leur faire plaisir à eux deux, et ils partent alors que rien n'aurait pu être mieux cette année. Vous en connaissez beaucoup des clubs qui ont une équipe 1 qui monte de 2 divisions en un an, et cela sans faire appelle à de nouveaux joueurs ? ! Là, un nouveau entraîneur-joueur allait intégré cette équipe pour faire un bon maintient en R2, mais ils se cassent.
Les dirigeants de Viro souhaitent développer le club, et j'espère qu'ils continueront avec encore beaucoup de succès malgré ces deux défections...
perso je vais quand même arriver à 200 ! j'en suis à 187 sans les 2 dernières journées de champ de Paris, le tournoi de Paris, ni celui de Jouy.. .Donc avec la dernière journée de Champ de Paris + balle d'or, je devrais passer les 200 ! Wahou !
tiens, boire 69 bières ça pourrait être un défi tel que celui là :
Mille bars en un an: une sacrée tournée... --par Larry McShane--
[04/06/2005 15:36]
NEW YORK (AP) -- Visiter 1.000 bars en un an. Tel est le défi que s'est lancé, le 1er janvier dernier, Dan Freeman, un habitant de New York, grand amateur de troquets devant l'Eternel. Six mois plus tard, il est déjà à mi-parcours de son marathon des débits de boisson.
Pourquoi 1.000 bars? «Il n'y a pas de grandes raisons», a expliqué le sympathique sexagénaire, barbe blanche, casquette vissée sur la tête et une bière à la main alors qu'il se trouvait le mois dernier au «Gate», 500e bistrot de son odyssée... «Je voulais juste voir combien de bars je pouvais visiter en une année et 1.000 me semblait un chiffre raisonnable».
Consultant en informatique à la retraite, il raconte son aventure dans un «blog», journal personnel diffusé sur Internet, qui a fait de lui une cyber-vedette, presque culte. Plusieurs admirateurs l'ont accueilli lors de son passage au «Gate», se faisant prendre en photo avec lui.
«Je vous envie», lui a déclaré Dan Ross de Brooklyn, en lui serrant la main. Un autre fan a envoyé ce message sur son blog: «Félicitations à vous et à votre foie».
L'objectif de M. Freeman est de visiter quatre ou cinq bars par jour en moyenne. «Certains jours, c'est comme du travail. Je regarde l'heure et je me dis: 'Ah! il est 13h, je ferais mieux de commencer ma tournée»'. Mais «c'est vraiment très marrant, de se promener et de rencontrer des gens».
Il a établi son «record» lors de vacances au Mexique, en visitant 12 bars en 12 heures. Sa femme, Yum Chin, souligne qu'il reste généralement raisonnable. «Il est très responsable», même s'il a commis «quelques écarts dont nous ne parlerons pas». M. Freeman confirme qu'il n'est pas du genre à faire des excès: il boit généralement un seul verre dans chaque bar.
Pour sa tournée-marathon, il ne compte jamais deux fois le même bistrot, et chaque établissement doit avoir un vrai comptoir où il peut s'asseoir et commander un verre.
«Je bois trois à quatre verres de bière par jour», reconnaît-il. Mais M. Freeman, qui passe une grande partie de son temps à marcher d'un bar à un autre, affirme avoir perdu 1,3 kilo depuis janvier.
Il prend des notes sur chaque bar visité. Exemple, son 458e bistrot, le Reade Street Pub: «Un lieu tout en longueur, étroit et assez sombre. Un bar en formica imitation bois, avec des repose-pieds carrelés. Des globes de lumière sont accrochés au-dessus du bar. Le mur derrière le bar est couvert de miroirs».
Etant donné son rythme actuel, il espère boucler sa tournée largement dans les temps. Selon ses prévisions, il devrait arriver à son 1.000e bar le 4 décembre à Manhattan. Pile pour fêter ses 61 ans. AP
Sinon, à part ça, c'est une piste à creuser, que je redescende 60 parce que je bois trop... En tout cas, St Arnoult, patron de la bière m'en est témoin, même soûl, j'ai toujours respecter les femmes !
Sur le match suivant, je suis quasi sûr qu'il a tord...
Sur le remboursement, là je pense qu'il est plus dans son droit, et que ça dépend plutôt de la personne. A Poissy ils m'avaient remboursé alors que j'étais pas blessé, mais malade, et le juge-arbitre/organisateur m'a remboursé sans même que je lui demande, alors qu'à un certain tournoi très connu cette année en région parisienne, l'organisteur n'a pas voulu me rembourser les tableaux du lendemain puisque je ne voulais pas revenir, vu l'organisation catastrophique du samedi.
A noter aussi la différence entre une compétition où je m'échauffe (5 à 10 minutes de course) juste avant, et celle où je joue direct... J'ai moins de mal quand je me suis chauffé !