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De quoi l' école cause...

Jeudi 25 Janvier 2007 13:29

De quoi ? Les Kolkhozes ? Clin d'oeil

Non, ce sujet n'est pas là pour parler de communisme (quoique) mais d'un des derniers lieux d' égalité (théorique) en droits, avec l' hôpital : l' Ecole Républicaine.

L' Education Nationale représente le premier poste dans le budget national, cet effort du pays est représentatif de l' importance que nos dirigeants accordent (encore) à cette institution fondamentale.

L' école, ce n'est pas en principe un lieu où l'on recherche du rendement, mais une satisfaction OPTIMALE de l'ensemble des élèves.

OPTIMAL en économie signifiant un état dans lequel on ne peut agir au profit d'une des parties sans aller au détriment d'une autre.

L'instituteur doit tirer parti de toute la richesse de ses têtes blondes ou brunes, c'est un gestionnaire de ressources humaines doublé d'un transmetteur de savoirs.


Alors bien sûr, certains ne se sont jamais plu à l' école, mais qu'ils sachent que le jour où l'école républicaine disparaîtra, la République perdra un de ses principaux fondements.


Qu'en pensez-vous ? Content

Jeudi 25 Janvier 2007 14:34

Completement d'accord avec toi , cependant on assiste depuis quelques années déja a un affaiblissement de son " pouvoir " éducatif , je sais on va me dire ce n'est pas le role de l'école d'éduquer les enfants mais aux parents ! et bien justement puisque l'on en parle , les parents d'aujourd'hui affaiblissent la position des enseignants en décrédibilisant leurs actes et en sapant leur autorité.
Je m'explique , ayant plusieurs amis dans l'enseignement , ceux -ci me rapportent leurs difficultés a ce faire obeir, il n'y a pas très longtemps l'un d'eu me disais qu'il avait puni un élève deux jours plus tard , il recoit une lettre de la mere de l'élève l'informant que celui ci ne ferait pas la punition ,la mère ayant estimé que celle ci avait été donnée de facon arbitraire.
De mon temps , ( et je ne suis pas si vieux ) on prenais des tartes ( et on en ai jamais mort ) , quand on avait été puni, on faisait ca punition et il n'était pas rare que les parents nous en donne une autre .
Maintenant les gamins te repondent jusqu'a amen tout ceci avec la bénédiction des parents .
Conclusion , avec tout ca on est en train d'en faire des petit c... impolis imbus d'eux meme et inculte dans le meilleur des cas .
Désolé si ca vous a paru réducteur et généraliste mais c'est malheureusement ce qui ce produit parfois .
si nous avons une propension a la grandeur nous en avons aussi une a la connerie

Jeudi 25 Janvier 2007 14:46

Citation de Nivôdjeu :

L'instituteur doit tirer parti de toute la richesse de ses têtes blondes ou brunes, c'est un gestionnaire de ressources humaines doublé d'un transmetteur de savoirs


Les pauvres ROUX déjà qu'ils y a souvent à l'école des moqueries sans fondements comme quoi il pues ou alors qu'il ressemble à des carottes et toi voila NIVODJEU que tu les oublies dans ta superbe analyse qui me semble pertinante!Rire

D'autre part je rejoint complétement BLOCKHAUS!! Beaucoup trop de laxisme!!
Ahlala la génération SKYROCK, LE RAP, LES FEMMES EN STRING, LE FRIC, voial ce que veulent nos jeunes désormais!! C'est triste la France!!
Mais non mais non l'ESB n'est pas mort !!!

Jeudi 25 Janvier 2007 17:42

Citation de blockhaus :
Completement d'accord avec toi , cependant on assiste depuis quelques années déja a un affaiblissement de son " pouvoir " éducatif , je sais on va me dire ce n'est pas le role de l'école d'éduquer les enfants mais aux parents ! et bien justement puisque l'on en parle , les parents d'aujourd'hui affaiblissent la position des enseignants en décrédibilisant leurs actes et en sapant leur autorité.
Je m'explique , ayant plusieurs amis dans l'enseignement , ceux -ci me rapportent leurs difficultés a ce faire obeir, il n'y a pas très longtemps l'un d'eu me disais qu'il avait puni un élève deux jours plus tard , il recoit une lettre de la mere de l'élève l'informant que celui ci ne ferait pas la punition ,la mère ayant estimé que celle ci avait été donnée de facon arbitraire.
De mon temps , ( et je ne suis pas si vieux ) on prenais des tartes ( et on en ai jamais mort ) , quand on avait été puni, on faisait ca punition et il n'était pas rare que les parents nous en donne une autre .
Maintenant les gamins te repondent jusqu'a amen tout ceci avec la bénédiction des parents .
Conclusion , avec tout ca on est en train d'en faire des petit c... impolis imbus d'eux meme et inculte dans le meilleur des cas .
Désolé si ca vous a paru réducteur et généraliste mais c'est malheureusement ce qui ce produit parfois .


En tant qu'enseignant en CM2 cette année, je ne peux que confirmer cela. Après, c'est toujours dangereux de généraliser.

Il y a tant de choses à dire sur ce sujet. Parler de l'école Républicaine est peut-être un peu fort pour moi car je suis instit dans le privé (payé par l'état quand même).
L'homme est capable du pire comme du meilleur, mais c'est encore dans le pire qu'il est le meilleur.

Jeudi 25 Janvier 2007 19:10

Je rejoins ce qui a été dit sur les parents.

Je vais évoquer deux points concernant les enseignants. Mais auparavant, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je fais une rapide présentation du bonhomme. J'enseigne à l'école primaire depuis dix ans maintenant, et après avoir eu des classes "à l'année", j'ai choisi il y a sept ans d'être remplaçant. Je connais donc tous les niveaux de la petite section de maternelle jusqu'au CM2. J'ai également enseigné en SEGPA de la 6ème à la 3ème. J'enseigne essentiellement à Racaille-City, en Seine-Saint-Denis.

Concernant les enseignants, la première remarque que je souhaite faire, relève de la discipline. Pendant notre formation à l'I.U.F.M., nous n'avons aucun enseignement qui nous prépare aux problèmes de discipline. Pourtant, avec l'expérience, on sait qu'il y a bon nombre d'erreurs à éviter en présence d'élèves rebelles. On sait également que l'autorité naturelle (si elle existe) de l'enseignant est souvent insuffisante pour se sortir de situations difficiles. Il y a des "techniques" pour raisonner un élève dont les parents ont démissionné et, même si elles ne fonctionnent pas toujours, il me semble qu'il serait bon d'en parler en formation aux futurs enseignants. Rien n'est fait dans ce sens, à ma connaissance. Problème de formation donc.

D'autre part, étant "de la vieille école" Émoticône , je dirais qu'il y a un problème de recrutement. Nombreux sont les instits qui ont passé (et réussi) le concours de professeur des écoles par dépit, après avoir raté le CAPES pour enseigner dans leur spécialité. Dans ces cas-là, il ne s'agit pas vraiment d'un choix de profession mais plus d'une orientation "par défaut". Comment être ainsi réellement motivé pour enseigner toutes les matières à des gamins, alors qu’on aurait souhaité enseigner des maths à des ados ?
Par ailleurs, je trouve que le niveau des enseignants qui débutent est... je cherche le bon adjectif... Émoticône , nettement insuffisant en français. En effet, il y a 30 ans, un instit qui faisait une faute d’orthographe, une faute de grammaire ou une erreur de conjugaison, c’était très rare. Aujourd’hui, c’est regrettable, mais un enseignant qui écrit sans faute est l’exception, surtout chez les débutants. Quant aux mathématiques, je ne dirais pas que les instits ne savent plus compter, ce serait faux, mais ils enseignent les maths avec un manque de rigueur flagrant.

L’Education Nationale estime qu’un étudiant, titulaire d’une licence quelconque, qui réussit le concours de professeur des écoles, donc qui fait partie des « moins mauvais », est apte à enseigner. Grave erreur ! Mon avis est, qu’au lieu de se concentrer sur des conneries comme la méthode globale ou « mettre l’élève au centre du système éducatif », l’EN aurait tout intérêt à soigner le recrutement de ses instits. Dans tous les cas, un instit compétent et motivé sera plus efficace qu’un instit qui aspirerait à être ailleurs que devant les gamins.

Voilà, c’était l’humeur – pessimiste – du jour.

Jeudi 25 Janvier 2007 19:19

Ca me semble assez juste.
L'homme est capable du pire comme du meilleur, mais c'est encore dans le pire qu'il est le meilleur.

Jeudi 25 Janvier 2007 19:39

Bonjour,

linvisible --> oui la formation d'un enseignant pose probleme, tout simplement car elle est inexistante. on recrute actuellement des enseignants en fonctions de leur niveau, l'aspect pedagogique est complétement oublié au debut. une fois la theorie validée, reste la pratique et la c'est de la rigolade. peu d'iufm osent acteullement jeter des eleves professeurs et c'est bien la que le probleme est le plus gros. je ne parle meme pas des inspecteurs qui lorsqu'ils trouvent un prof mauvais se contente de lui mettre une mauvaise note (trop dur) plutot que de le mettre dehors tout simplement.

blockhaus --> justement l'école doit eduquer a la place des parents, et c'est bien de ce genre de formation dont les profs ont besoins et pas de savoir comment on place un video dans un powerpoint. je rappelle que le référentiel (ou programme pour les hors ED) d'un lycée pro demande aux profs avant tout de civiliser les élèves...

je vous demande de bien intégrer le fait que le professorat est une solution de secours car c'est une voie facile, plutot pas trop mal rémunérée et surtout sure dans notre france d'aujourd'hui. cependant, la motivation c'est comme dans tous les métiers il y a ceux qui en veulent et ceux qui sont la pour arriver au bout de la journée...

Jeudi 25 Janvier 2007 20:07

Citation de enricodecuba :
je ne parle meme pas des inspecteurs qui lorsqu'ils trouvent un prof mauvais se contente de lui mettre une mauvaise note (trop dur) plutot que de le mettre dehors tout simplement.


Pour se faire virer de l'Education Nationale, il faut violer deux enfants ! Ben oui, au premier viol, tu te fais muter à la campagne. Je me demande si ça ne serait pas une solution plus rapide que d'attendre ma mutation officielle... Émoticône Émoticône

Jeudi 25 Janvier 2007 22:24

Citation de linvisible :
Citation de enricodecuba :
je ne parle meme pas des inspecteurs qui lorsqu'ils trouvent un prof mauvais se contente de lui mettre une mauvaise note (trop dur) plutot que de le mettre dehors tout simplement.


Pour se faire virer de l'Education Nationale, il faut violer deux enfants ! Ben oui, au premier viol, tu te fais muter à la campagne. Je me demande si ça ne serait pas une solution plus rapide que d'attendre ma mutation officielle... Émoticône Émoticône


le probleme c'est que j'ai presque que des gars dans mes classes, mais j'y pense moi aussi

sinon mon premier inspecteur avait fait virer un prof et tout le monde le considérait comme un connard, moi je l'admire encore...

Jeudi 25 Janvier 2007 22:48

Je ne suis pas prof mais je me permet d'intervenir pour vous féliciter de l'esprit de vos interventions.

Je garde donc espoir...
Logiciel de statistique pour pongiste : http://cla.leroy.perso.sfr.fr/

Jeudi 25 Janvier 2007 23:39

Citation de enricodecuba :

je vous demande de bien intégrer le fait que le professorat est une solution de secours car c'est une voie facile, plutot pas trop mal rémunérée et surtout sure dans notre france d'aujourd'hui. cependant, la motivation c'est comme dans tous les métiers il y a ceux qui en veulent et ceux qui sont la pour arriver au bout de la journée...


Ceci me semble suffisamment erroné pour que j'ai envie de le quoter.
Je vais bien me garder d'avoir une vision angélique de l'ensemble de mes collègues ( et même si je suis prof, je considère les PE comme mes collègues ), mais je crois que la grande majorité d'entre eux sont des gens qui ont la vocation, après on peut toujours constater des dysfonctionnements, observer des je-m'en-foutistes ou tout ce que tu veux, reste que la plupart d'entre eux sont motivés et il s'agit d'un choix de carrière.
Bref, que ce soit solution de secours, voie facile comme bonne rémunération, je ne peux pas me retrouver dans tes dires.

Jeudi 25 Janvier 2007 23:50

comme toi, Keumar.

Je suis prof depuis 10 ans. J'ai connu pas mal d'établissements et je peux affirmer que l'EN est remplie de gens motivés qui ne rechignent pas à la tâche. Il existe quelques brebis galeuses, comme partout.

Je trouve ça assez étrange de qualifier de solution de secours ce métier pour lequel le taux de réussite au concours est d'à peine 10 % et que des dizaines de milliers d'étudiants essaient de décrocher avec un acharnement incroyable pendant 5 ou 7 ans...

Quand au salire, on ne peut pas dire que ce soit le point fort de ce métier...

Vendredi 26 Janvier 2007 00:44

je pense que le probleme a été en parie évoqué par linvisible , les enseignants d'aujourd'hui n'ont pas été formé a "affronter " ( excuser moi si le terme vous choc , je n'en vois pas de plus approprié ) les enfants ou les ados d'aujourd'hui.
J'entends par les termes "enfants et ados d'aujourd'hui" des jeunes qui ont évolués plus rapidements que les générations précédentes dont sont issus une majorité d'entre nous .
Aujourd'hui les jeunes veulent tout connaitre de la vie avant meme d'avoir atteint la maturité necessaire pour en comprendre les tenants et les aboutissants que ce soit en matiere de sexe ,de drogue ou de tout autre choses , ils ne se laissent pas le temps de grandir, la faute a qui ?
A une accession trop simple et trop rapide d'informations susceptible de les influencer , a des barrières non établies par des parents trop laxistes il y'a certainement un peu de tout cela a la fois .
Puis il y'a aussi l'éducation nationale avec ses personnes de bonnes volonté ( ainsi que les autres ) avec son système éducatif que je pense inadapté, que ce soit en termes d' emploi du temps ou en termes de méthodes d'apprentissages ,( je ne vous apprends rien surtout en ce qui concerne le taux d'élève sachant lire correctement en sixieme) .
En bref un systéme englué dans son immobilisme qui si il n'est pas réformé de facon pertinente ne fournira plus a notre pays et surtout aux autres Émoticône ( ceci est un autre débat) que de parfaits ignares.
Vous allez me trouvez passéiste , mais ce qui marchait pour nous devrait marcher pour eux non?
Nous aussi on a vus des dessins animés violents ,et on a pas trucidé de grands mères pour autant seraient ils tous des moutons de Panurge .
Notre avenir ce sont nos enfants qui en sont les dépositaires , si quelques 'un d'entre vous ont lu le papillon des étoiles de Werber , et qu'ils en ont tirés une morale , nous nous devons pour eux et pour nous meme de les guidés sur le bon chemin.
si nous avons une propension a la grandeur nous en avons aussi une a la connerie

Vendredi 26 Janvier 2007 05:29

Citation de keumar :
je crois que la grande majorité d'entre eux sont des gens qui ont la vocation, après on peut toujours constater des dysfonctionnements, observer des je-m'en-foutistes ou tout ce que tu veux, reste que la plupart d'entre eux sont motivés et il s'agit d'un choix de carrière.
Bref, que ce soit solution de secours, voie facile comme bonne rémunération, je ne peux pas me retrouver dans tes dires.

A Keumar et à Looping06. Sans doute votre vision des choses est-elle la bonne en ce qui concerne les collèges et les lycées. Quoique je me demande si l'horaire hebdomadaire de travail, les vacances, la sécurité de l'emploi ne pèsent pas beaucoup dans la balance lors du choix de sa profession future... Dans les collèges et lycées, disais-je, les profs ont réussi le concours dans la branche qu'ils ont choisie. Ils enseignent une matière qu'ils aiment dans laquelle ils ont été bien formés et donc sont compétents.

En revanche, en ce qui concerne les P.E. (professeurs des écoles ça veut dire instit en langage courant), quand on parle avec eux, les débutants surtout, on n'est beaucoup moins convaincu qu'ils ont vraiment choisi ce métier par vocation. Cela ne voulant pas dire qu'ils sont nuls non plus.

Par ailleurs Looping06, en ce qui concerne le concours, le taux de réussite en région parisienne est plus élevé que 10%, selon moi, il serait plutôt proche des 20%, ce qui est énorme pour un concours. Quand je l'ai passé en 96, la "réussite" était de 1 sur 5. Et même 10 %, c'est bien pour un concours. Quand j'ai passé les concours d'entrée en école d'ingénieur (1982), le taux de réussite était souvent inférieur à 5%.

(A Keumar, bonne chance pour la montée mais vous avez encore commencé par un match nul, pas glop)

Vendredi 26 Janvier 2007 05:38

Ah oui, j'ai oublié d'ajouter une chose concernant les horaires de travail ds enseignants. Qu'on arrête de nous rebattre les oreilles avec le temps de préparation des cours à la maison. Je lis à droite et à gauche, qu'il faut 1h30 de préparation pour une heure de cours devant les élèves. Le temps de préparation est indispensable quand on enseigne en début de carrière. Mais quand on est "rôdé", avec un peu d'organisation, il devient quasiment inexistant même si certaines adaptations doivent être faites en fonction de l'actualité. Restent les corrections... Mais là aussi, il n'y en a pas autant qu'on veut bien le faire croire. Les élèves ne sont pas évalués à chaque heure de cours, ni même chaque semaine (sauf peut-être dans les classes préparatoires).

Vendredi 26 Janvier 2007 12:25

linvisible, que tu passes ou ne passes pas ton temps à corriger des copies ou à préparer tes cours ne signifie pas que les autres ne le font pas.

Vendredi 26 Janvier 2007 12:31

Quelques remarques :

1- Les chiffres d'élèves sachant lire en entrant en 6e sont très fortement faussés par les enfants d'origine étrangère qui arrive, disons, entre 6 et 10 ans en France.
Dans mon collège, ça représente quasiment 1/4 des élèves et forcément il leur a étyé difficile d'apprendre à lire le français dans la mesure où ils ne le parlaient pas.

2- 10 % de réussite à un concours peut^être considéré comme un bon taux. Mais, beaucoup de CAPES n'atteignent pas la barre des 5% de réussite, sans parler de certaines aggrégations où des candidats se présentent pour apprendre ensuite qu'aucun poste ne s'ouvre.

3- Sur le temps de travail des enseignants :
- Copies à corriger, cours à préparer, réunions exponentielles sont des facteurs qui allongent le temps de travail des enseignants et l'amène très facilement à 35 heures. Mais en plus de cela, il est plus fatigant d'être à 100 % devant des élèves pendant 18 heures que de travailler peinard dans un bureau ou de se rendre en bagnole à un rendez-vous commercial ou d'avoir un rendez-vous d'affaires ou d'attendre le client dans une boutique...

Alors, arrêtons de faire le procès des profs. Ils travaillent au moins autant que les autres.

Vendredi 26 Janvier 2007 12:33

Certes, tsavatanen, certes.

Mode provoc ON
Cela dit, ce que les enseignants font de mieux, à part pour certains préparer leurs cours, c'est la grève... et aussi se plaindre sans arrêt.
Mode provoc OFF

Émoticône

Vendredi 26 Janvier 2007 12:37

Se plaindre sans arrêt c'est très français, non ?

Vendredi 26 Janvier 2007 12:38

Citation de looping06 :
...il est plus fatigant d'être à 100 % devant des élèves pendant 18 heures que de travailler peinard dans un bureau ou de se rendre en bagnole à un rendez-vous commercial ou d'avoir un rendez-vous d'affaires ou d'attendre le client dans une boutique...


Je ne peux que confirmer tes paroles, looping06.

Je ne fais pas le procès des profs. Je donne mon point de vue sur une catégorie d'enseignants qui passent leur temps à râler et qui ne se remettent jamais en question. A ceux-là, je dis que le privé leur tend les bras. J'ai fait 10 ans de privé avant de choisir de devenir instit... je peux faire une comparaison. La plupart des profs n'ont pas eu cette opportunité.
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