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Quelle sanction pour une agression au sabre et injures à caractères ra

Sondage

Quelles sanction devrait on infliger à un licencié auteur d'une agression au sabre et coupable d'injures raciales ?

2 ans de suspension - 5.8% - 4 vote(s)
5 ans de suspension - 7.2% - 5 vote(s)
Radiation à vie - 87.0% - 60 vote(s)

Jeudi 12 Janvier 2012 07:46

Il s'agit d'un évènement survenu le samedi 17 décembre pendant que j'encadrais les jeunes.

Jeudi 12 Janvier 2012 08:02

si ce que tu dis est vrai ça ne dépend plus que du ressort de la FFTT mais de la justice plutôt

Jeudi 12 Janvier 2012 08:08

Tu parles de la sanction probable de la Fédé ? Sinon je suppose qu'il y a eu dépot de plainte au pénal, non ?

-L'assaillant devait trouver que l'encadrant ne... s'escrimait pas assez à son goût-
e pericoloso sporgersi

Jeudi 12 Janvier 2012 08:19

Oui ! la procédure a été lancée. Ma Ligue est trop évasive sur le sujet.

Jeudi 12 Janvier 2012 08:28

Au sabre?!
Que s'est-il passé pour en arriver là?

Jeudi 12 Janvier 2012 09:01

moi je trouve cela normal, Content

Bin sur je plaisante, mais comme le disait lucéen, c'est à la justice de décider du sort de cette personne

Jeudi 12 Janvier 2012 10:37

Nom de diou, au sabre carrément.

Je comprends pas que certains mettent seulement 5 ans de radiation...

Jeudi 12 Janvier 2012 10:52

En même temps, le sabre pour apprendre à couper la balle, c'est plutôt efficace, non ? MDR
http://smileys.sur-la-toile.com/repository/Messages/dejadehors.gif
Hardbat France, pour le développement du hardbat en France http://www.hardbat-france.fr

Jeudi 12 Janvier 2012 10:59

Et qu'en est il de la victime ?

Jeudi 12 Janvier 2012 11:19

Radiation à vie pour répondre à la question posée... Après peut être que la fédé d’Aïkido pourrait accueillir ce messieurs...lol
Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme...(Lavoisier)

Jeudi 12 Janvier 2012 12:33

Difficile de "trancher" sans avoir connaissance du dossier... Émoticône
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait" - Mark Twain.

Jeudi 12 Janvier 2012 12:54

Citation de Gilles71 :
Difficile de "trancher" sans avoir connaissance du dossier... Émoticône


Un ancien ministre des sports, sabre au clair, savait trancher avec... (L')amour.
Message modifié 1 fois, dernière modification Jeudi 12 Janvier 2012 12:55 par luceen
e pericoloso sporgersi

Jeudi 12 Janvier 2012 14:07

Citation de cedbalou :
si ce que tu dis est vrai ça ne dépend plus que du ressort de la FFTT mais de la justice plutôt

Non. Dans la mesure où il y a eu dépôt de plainte adressé à la fédé !
Et que cela s'est passé pendant l'entraînement de jeunes, les instances concernés le club, la Ligue voire la fédé doivent prendre des sanctions.

Jeudi 12 Janvier 2012 14:15

Alors la franchement sa me, la coupe...
Concentration, Concentration Tordage !

Jeudi 12 Janvier 2012 14:21

Un japonais aux antilles?

Jeudi 12 Janvier 2012 14:26

Si c'est une attaque au sabre laser, tu peux t'en référer au Supreme Tribunal.

http://a35.idata.over-blog.com/0/07/29/82/gifs/smiley.gif

Jeudi 12 Janvier 2012 14:46

Émoticône Émoticône Émoticône

un peu comme ça quoi...

Jeudi 12 Janvier 2012 17:34

Citation de OusGwada :
Il s'agit d'un évènement survenu le samedi 17 décembre pendant que j'encadrais les jeunes.

Que s'est-il passé exactement pour en arriver à de telles extrémités ?
Et qu'est-ce qu'en est-il de la (ou des) victimes ? Blessée, pas blessée ? Et ça s'est terminé comment ?
Et l'agresseur, c'était qui ? Un joueur ? Un entraineur ? Un spectateur ?

En tout état de cause, on est ici bien loin du ping et cette agression relève avant tout de la justice et du Code Pénal et ensuite de la Fédé pour d'éventuelles sanctions si l'agresseur est licencié à la FFTT.
Ceux qui risquent aussi beaucoup dans cette affaire, ce sont le club dont les locaux ont été les témoins de l'agression, ainsi que la commune du club. Ils risquent entre autres une fermeture administrative de la salle (temporaire puis éventuellement définitive selon le contexte) pour avoir abrité un trouble à l'ordre public et éventuellement une dissolution de l'association pour la même raison.
En tous cas, cette affaire, c'est Émoticône
- Et maintenant Blase, flattez-moi ! - Monseigneur est le plus grand de tous les Grands d'Espagne. - C'est pas une flatterie ça ! C'est vrai ! (La folie des grandeurs - Gérard Oury - 1971)

Jeudi 12 Janvier 2012 18:02

Y'a vraiment des malades Émoticône

Jeudi 12 Janvier 2012 21:54

Citation de Romainizz :
Au sabre?!
Que s'est-il passé pour en arriver là?


2 joueurs qui de l'équipe fanion faisaient le forcing pour occuper la salle en dehors de leur créneaux habituels depuis le début de saison.
Ils réclamaient un espace pendant les séances d'entraînement jeunes et insistaient même lorsque les toutes les tables étaient occupées.
Le vendredi 16 décembre, ils se sont permis de rentrer dans la séance et de bouger la disposition des tables sans autorisation.
Le lendemain, l'un des deux joueurs téléphone à l'entraîneur qui lui accorde qu'un créneau réduit à partir de 18h;
A son arrivée, l'entraîneur lui signifie qu'il ne faut pas toucher la disposition des tables.
L'indélicat hausse le ton et menace d'éclater l'entraîneur.
Il le traite de sale négro et il lui crache dessus.
l'entraîneur fait appeler le président du club.
L'indélicat va avec son ami aussi licencié au club jouer sur les tables en disant devant tout le monde : "plus ils sont noirs, plus ils sont cons".
"frustré, l'individu repart de la salle puis 15 mn plus tard revient et assène un coup de sabre à l'entraîneur sur l'épaule gauche et le poursuit sur quelques mètres devant le président du club. L'ancien président du club et quelques membre du C.A.alertés par les cris constatent sur le tard une blessure de 6 cm sur l'épaule. Le blessé est choqué.
L'ancien président, tente de ralentir tant bien que mal de ralentir le forcené dans son entreprise car il est décidé à en finir.
L'arrivée des gendarmes alerté par un membre du C.A. est opportun.
Malheureusement, le président du club refuse de porter plainte par peur de représailles devant quelques membres du C.A. outrés.
Bien entendu, l'entraîneur est accompagné au urgences (pas par le président).
Le lendemain, le cadre technique porte plainte à la gendarmerie. L'agresseur est auditionné par les gendarmes dans une pièce à part à la demande de la victime.
La victime a actuellement repris le travail mais est choqué, par le laxisme de l'employeur qui n'a pas fait la déclaration d'accident;
C'est l'entraîneur choqué qui est obligé d'avancer les frais et de faire les multiples démarches pour être remboursé.
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