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Topic Politique - Page 2

Lundi 04 Juin 2007 18:34

Citation de Nicolas Gudayol :
Ils bossent quand les types ?

C'est aussi la question que je me pose...

En tout cas, Sarko profite bien de ces week-ends... Course à pied ( manquerait plus qu'il gagne la course et la prime qui va avec... Émoticône ), escapades à Brégançon... Et encore, ce n'est que le début!

Lundi 04 Juin 2007 20:07

oui, c'est vrai ça. Et vous savez il dort aussi la nuit, c'est vraiment un scandale

il devrait travailler 24H/24 7j/7. Pas de sommeil, ni de loisir pendant 5 ans.

Et dire que c'est la même qui défendent les 35H pour les loisirs...

Lundi 04 Juin 2007 21:05

jpc45, un peu d'humour, ça ne fait pas de mal...

Lundi 04 Juin 2007 21:22

Monsieur SarkoZy fait ... courir Monsieur Fillon et toi, Zouzou, tu leur emboîtes le pas en faisant ... marcher jpc45 ! Content
Toujours d'humeur pour l'humour, sans déc ...

Mardi 05 Juin 2007 21:41

bible, toujours au top de sa forme!!!

Mardi 05 Juin 2007 22:48

article du Figaro

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Socialistes : pourquoi ils ne sont plus dans le coup

RÉALISÉ PAR CHRISTOPHE DORÉ ET JEAN-MARC GONIN. Publié le 01 juin 2007Actualisé le 02 juin 2007 : 19h13

Trois présidentielles consécutives perdues ; une gauche en perte de vitesse dans les urnes comme dans les sondages ; des grincements de dents toujours plus audibles dans les rangs du PS... Le malaise est profond, même si Ségolène Royal garde son éternel sourire. Interrogé sur la défaite de la candidate socialiste, le Premier ministre britannique Tony Blair a rappelé que «toute politique progressiste ayant pour ambition de remporter les élections se doit d'être une politique du futur, avant de préciser : elle ne doit pas se contenter de concepts passés, certes très traditionnels mais parfois un peu dépassés». La leçon du leader travailliste, au pouvoir depuis dix ans et vainqueur de trois élections générales consécutives, est donnée avec tact. Il y a quelques jours, l'historien et politologue Marc Lazar était moins diplomate : «Le PS est le seul en Europe à avoir choisi la politique de l'autruche !», affirmait-il dans Libération.


Le constat, dressé par Claude Allègre ou Eric Besson, Max Gallo ou David Thesmar, Alain Finkielkraut ou Alain Bauer, est unanime : à ne pas vouloir regarder la réalité en face, les socialistes français sont devenus des has been. Péchant par suffisance, machiavélisme ou atavisme idéologique, les leaders du PS ont manqué de courage face à une base traditionnelle de moins en moins en phase avec la société. Quand les socialistes européens se réformaient avec succès, le socialisme français, par orgueil, déni de la réalité ou refus de s'engager, s'enferrait dans ses vieilles lunes. Nous en avons listé sept, comme dans le jeu des erreurs. Ou comme les péchés capitaux.


Nier l'économie de marché


6 février 2007. Dans une salle comble à Paris, Ségolène Royal vilipende «l'argent avide de toujours plus : plus de licenciements boursiers, plus de déréglementation, plus de stock-options, plus de privatisations, plus de marché sans foi ni loi»... Elle attaque «cet argent arrogant qui se rêve sans contrainte, sans contrôle, sans contre-pouvoir». Un vieux socialiste est aux anges... «C'est Epinay !»... En 1971, François Mitterrand accusait déjà «l'argent qui corrompt jusqu'à la conscience des hommes». La référence est explicite. Et pas si surprenante, selon David Thesmar, qui vient de recevoir le prix du meilleur jeune économiste français : «Le Parti socialiste, bâti sur un compromis entre une gauche dure anarcho-syndicaliste et une autre plus sociale-démocrate représentée par Jaurès, n'a jamais su se libérer de cette suspicion de dangerosité de l'économie de marché», résume l'auteur du Grand méchant marché (Flammarion). Dans les esprits de gauche, le capitalisme financier est forcément source d'aliénation et destructeur de richesse. Sauf pour les nantis.


«Lionel Jospin avait pourtant trouvé une bonne formule : "Oui à l'économie de marché, non à la société de marché", se rappelle l'ancien ministre Claude Allègre. Mais elle n'a pas été suivie d'effets. Pensez que, dans le programme du PS, est inscrite la renationalisation de la partie privatisée d'EDF, et donc le remboursement de 7 milliards d'euros aux actionnaires... C'est absurde !»


«Le grand désarroi du Parti socialiste français, c'est qu'il s'est laissé coincer dans une position défensive sur son extrême gauche, quand d'autres partis socialistes européens ont su choisir de nouvelles voies, en reconnaissant l'efficacité d'un marché libre et en jouant sur la fiscalité pour la justice sociale», constate David Thesmar. La solution ? Que le Parti socialiste écoute enfin ses économistes.


Négliger l'insécurité


C'est là aussi une question culturelle au PS. «Face aux problématiques de criminalité, les socialistes français avaient pris l'habitude de considérer que la police avait tort et que les criminels étaient autant des victimes que les victimes elles-mêmes, soutient Alain Bauer, criminologue qui conseilla Rocard à Matignon. Le phénomène remonte au début des années 70 et est resté latent, y compris sous François Mitterrand.» En fait, le Parti socialiste a longtemps considéré que le maintien de l'ordre et de la sécurité face à la montée de la délinquance était un problème de droite. Même si des ministres de l'Intérieur comme Pierre Joxe ou Jean-Pierre Chevènement ont participé à la modernisation de la police, ils n'ont pas réussi à imposer une réflexion en profondeur sur ce thème. Lionel Jospin perdra à cause de cela en 2002. «Depuis, le PS semble atteint de schizophrénie sur ce sujet, analyse Alain Bauer. Des élus socialistes, au niveau local, disent des choses extrêmement cohérentes sur les questions d'insécurité dans leur ville, mais ils tiennent des discours inverses dès qu'ils sont en congrès ou à l'Assemblée nationale.» Un véritable «négationnisme» qui va jusqu'à ne pas prendre en compte les victimes de l'insécurité, «même si des personnalités comme Manuel Valls, Julien Dray ou Delphine Batho tentent courageusement de remonter le courant», nuance Bauer.


S'accrocher à la lutte des classes


Ce soir-là, sur France 2, Michèle Alliot-Marie est en pleine forme : «Vous avez une vision de la France très particulière !» assène-t-elle à François Hollande, alors qu'elle défend l'idée d'une imposition moins lourde pour les classes moyennes.«Oui, je n'aime pas les riches, j'en conviens...», répond Hollande, presque instinctivement.


Cet épisode de la campagne électorale est assez révélateur d'une idée encore vivace au PS, qui veut que riches et pauvres, patrons et ouvriers ne puissent être qu'adversaires... La bonne vieille lutte des classes ! Le premier secrétaire du PS le confirme, mi-février, quand il attaque Nicolas Sarkozy parce que celui-ci s'adresse aux «travailleurs» : «Quand on apprend que le président du directoire de la Caisse d'Epargne se fait octroyer un bonus de 150 000 euros, quand tant d'autres n'ont même pas le smic pour arriver à boucler leur fin de mois, il nous parlerait des travailleurs et des travailleuses ?», reproche-t-il au futur président de la République.


Ségolène Royal, bien que peu nourrie de marxisme-léninisme, en a pourtant conservé quelques réflexes. Copiant Mitterrand, elle soutient dans sa campagne les grévistes de PSA à Aulnay-sous-Bois. «Si les actionnaires sont augmentés, il faut que les salariés le soient aussi !», déclare-t-elle alors que les syndicats, qui ont signé un accord majoritaire avec la direction, ne soutiennent même pas ce mouvement. L'égalitarisme brandi comme un dogme justifiait, aux yeux de la candidate, une lutte jusqu'auboutiste.


Ségolène Royal ira encore plus loin dans la rhétorique de la gauche extrême. Le 4 mai, à deux jours du second tour, elle «lance une alerte» sur «les violences qui se déclencheront si (Nicolas Sarkozy) est élu»... Une référence au Grand Soir pour le moins légère au regard des conséquences possibles.


Ces faits d'armes, résultats d'une tradition française de gauche idéologique plutôt que pragmatique, n'ont pas eu l'écho positif escompté. Les Français sont aujourd'hui séduits par l'ouverture et l'entente (71%). Fait notable, Nicolas Sarkozy, «l'ami des grands patrons», a raflé le vote ouvrier et obtient 61% d'opinions favorables chez les employés. Dans l'ensemble, d'ailleurs, ouvriers et employés apprécient leur patron (à plus de 80%, selon un sondage CSA). Dernier coup de grâce : 62% des Français ont trouvé normal que le futur président de la République se repose sur le yacht d'un ami milliardaire.


Oublier la nation


Michel Charasse a fait une remarque originale sur la défaite des socialistes à la présidentielle. Invité de Public-Sénat, il a déclaré : «Ségolène Royal parlait des Français, Nicolas Sarkozy parlait, lui, de la France. Et les électeurs se sont dit : si la France va bien, alors j'irai bien aussi.» Il est vrai que la gauche ne parle plus beaucoup de la France, notamment de la nation. C'était le sens des propos de Max Gallo quand il a dit à Arnaud Montebourg que Ségolène Royal devrait faire entonner La Marseillaise à la fin de ses meetings, plutôt que Bella Ciao, le chant des partisans italiens. «La nation, c'est le trou noir de la pensée socialiste, explique l'écrivain. L'imprégnation marxiste l'a rendue incompatible avec la lutte des classes. Puis 14-18 et le pacifisme en ont fait un synonyme de guerre. Les socialistes lui ont substitué le mot République ; ce qui nie toute histoire antérieure, alors que la nation s'est développée au cours des siècles.»


L'idée européenne, que les socialistes français ont ensuite embrassée, a alors servi de produit de remplacement. « La France est notre patrie, l'Europe notre avenir», proclamait François Mitterrand. Mais comment s'identifier à la nébuleuse de fonctionnaires bruxellois et à leurs directives alambiquées ? A l'heure des grandes tempêtes de la mondialisation, les Français éprouvent le besoin d'une identité protectrice : la nation leur fournit un «ciré» solide et éprouvé. La gauche ne l'a pas compris ou elle l'a saisi trop tard, quand Ségolène Royal a émis sa suggestion-gadget du drapeau tricolore dans chaque foyer.


Faire la morale


Pendant toute la campagne présidentielle, la droite n'a pas manqué de dénoncer le caractère moralisateur de la gauche, jusqu'à la fameuse colère de Ségolène Royal sur la scolarisation des enfants handicapés lors du débat de l'entre-deux-tours. La candidate reproche à Nicolas Sarkozy d'atteindre le «summum de l'immoralité politique»...


«Je ne mets pas en cause votre sincérité, ne mettez pas en cause ma moralité», lui répond alors son adversaire de l'UMP.


Au mois d'août 2006, les membres fondateurs de La Diagonale, club des sarkozystes de gauche, s'inquiétaient déjà de cette approche moralisatrice du PS : «Il est dangereux, pour la liberté des Français, que soit entretenue une confusion entre l'ordre public et l'ordre moral», écrivaient-ils dans Le Figaro, estimant que la campagne du PS «fait revivre un vieux courant socialiste, celui des néos de l'entre-deux-guerres, moralisant et corporatiste». Ce travers n'est pas nouveau. Le philosophe Alain Finkielkraut le stigmatisait en précurseur dès 1987 dans La Défaite de la pensée (Flammarion), alors qu'il n'était pas encore catalogué par la gauche bien-pensante comme un odieux réactionnaire. Selon lui, la dernière campagne du PS a été «robespierriste» en ce sens qu'il ne s'agissait pas de «faire du monde un séjour humain mais d'éradiquer le mal en démasquant les méchants».


Les propos acerbes des leaders du PS sur les ralliés à la droite sont venus confirmer les convictions du philosophe : «Lorsque la gauche pratique l'ouverture, elle grandit ceux qui se rangent sous sa bannière, analyse-t-il. Quand c'est la droite, ceux qui acceptent sont forcément des âmes noires ou des Judas. Il y a une gauche christique qui prend le parti des humbles et une droite qui sera forcément le parti des puissants. Cela a des conséquences désastreuses majeures.» Y compris pour le Parti socialiste, semble-t-il.


Ignorer la mondialisation


Les mutations que la mondialisation fait subir à la planète déstabilisent la pensée de gauche. Les mouvements financiers, les concentrations industrielles, les délocalisations, le dumping fiscal et social, la prime aux firmes multinationales sont autant de phénomènes que le socialisme rejette. Sans oublier la perte d'influence des Etats et des pouvoirs publics, qui ne peuvent que constater leur impuissance à maîtriser, voire simplement à canaliser le mouvement. Dans le même temps, la mondialisation permet à des sociétés du tiers-monde de sortir de la pauvreté, notamment en Asie et en Amérique latine. Certes, ceci se produit de manière chaotique, entraînant de formidables inégalités et des conditions de travail souvent indécentes. Mais il reste incontestable que le niveau de vie moyen s'élève en de nombreux points de la planète, ce qui devrait réjouir toutes les «forces de progrès» qui ont si longtemps appelé au développement des pays pauvres.


«On ne peut pas se contenter de dire que c'est mauvais et appeler à la fermeture des frontières, constate l'ancien ministre Claude Allègre. Le PS n'a pas de réflexion sur ce thème : on n'a même pas invité Pascal Lamy, longtemps membre du parti, à venir s'expliquer sur la libéralisation du commerce mondial.»


Interrogé par un journaliste du Financial Times quelques jours avant sa dernière réélection, en 2005, sur ce que signifiait être de gauche aujourd'hui, Tony Blair avait répondu : «Dans un monde qui change à toute vitesse, c'est aider les plus faibles à s'adapter le mieux possible.» Le PS est décidément très loin du blairisme.


Dénigrer la valeur du travail


C'est l'une des erreurs majeures du Parti socialiste, coincé depuis longtemps entre un slogan séduisant - «il ne faut pas vivre pour travailler mais travailler pour vivre» - et une vision désuète du marché du travail, envisagé comme un gros gâteau dont on doit répartir les parts pour éviter le chômage. François Hollande déclarait encore dans un discours de campagne : «Une heure supplémentaire doit toujours coûter plus cher à l'employeur qu'une heure normale, sinon, ceux qui espèrent une embauche ne pourront jamais entrer dans l'entreprise tant qu'on n'aura pas saturé l'ensemble des autres salariés en heures supplémentaires.» Quant à Ségolène Royal, elle estimait que «la valeur travail, c'est d'abord payer le travail à sa valeur !». Ces deux a priori - plus de travail chez les uns crée le chômage des autres, et le travail ne vaut que pour l'argent qu'il rapporte - ne correspondent plus à la réalité de la France d'aujourd'hui dans une économie mondialisée. Des dizaines de pays prouvent que la baisse du chômage est possible en travaillant plus et mieux. De surcroît, les Français ne voient pas le travail comme une aliénation, seul moyen de remplir leur frigo, mais comme un facteur d'épanouissement (pour 8 actifs sur 10) : 80% d'entre eux se disent heureux dans leur entreprise et 56% souhaitent travailler plus. A désespérer de Billancourt...

Mardi 05 Juin 2007 22:50

trouv aussi sur le Figaro

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Les vertueux partis frères européens.
Publié le 01 juin 2007Actualisé le 02 juin 2007 : 18h17



Grande-Bretagne Blair contre l'hégémonie syndicale



Quand Tony Blair prit les commandes du Labour en 1994, ce parti venait de subir quatre défaites consécutives aux législatives. Depuis leur débâcle de 1979 et l'élection de Margaret Thatcher, à l'issue d'un hiver de grèves qui firent tomber le gouvernement de gauche de James Callaghan, les travaillistes, engoncés dans leurs vieux dogmes, étaient otages de leur gauche radicale. Tony Blair brisa les chaînes en commençant par changer le mode de désignation des candidats au Parlement, jusqu'ici dominé par les syndicats. Ce fut le point de départ du «New Labour», qui ouvrit le parti à de nouvelles classes sociales, notamment en approuvant l'économie de marché. Vainqueur en 1997, le New Labour s'est attaché à emprunter ce que Blair a nommé la «troisième voie» entre libéralisme radical thatchérien et politique sociale (salaire minimum, aide aux sans-logis, santé et éducation). Tout au long de ses trois mandats, Tony Blair aura néanmoins subi le feu roulant de son aile gauche pour sa trop grande proximité avec les organisations patronales et sa foi dans les forces du marché.


Allemagne De Bad Godesberg à l'Agenda 2010



Le SPD, le plus vieux parti socialiste européen et le plus important en nombre d'adhérents (556 000), a été le premier à tourner définitivement le dos aux thèses marxistes. Dès 1959, lors de son congrès de Bad Godesberg, il proclame l'«économie sociale de marché» et abandonne toute référence à la lutte des classes, à la planification et aux nationalisations. Cette rupture prépara son accession aux affaires, d'abord avec Willy Brandt, puis Helmut Schmidt. Gagnée par le pacifisme des années 80, la social-démocratie allemande perdit le pouvoir. Son programme actuel, adopté à Berlin en 1989, avant la chute du Mur, fit une large place à l'écologie. Il échut au troisième chancelier social-démocrate de la République fédérale, Gerhard Schröder, élu après la réunification, de prendre le tournant libéral. Adopté il y a quatre ans, l'Agenda 2010 comportait de profondes réformes de l'assurance-maladie, de l'indemnisation du chômage et de l'aide sociale. Cette purge provoqua une scission dans le parti. Aujourd'hui, sous l'impulsion de sa base (le SPD a perdu 200 000 adhérents depuis l'Agenda 2010), le parti cherche à s'écarter des positions de Schröder.


Suède De la social-démocratie au social-libéralisme



Au pouvoir pratiquement sans interruption depuis 1928, les socialistes suédois ont tiré leur force d'un accord remontant à 1938 et instaurant une concertation directe entre syndicats et patronat. Depuis, le capital n'est plus pour eux un tabou. Plus récemment, ils ont réformé l'Etat en profondeur. En 1993, les dépenses publiques représentaient 70% du PIB. Cinq ans plus tard, le chiffre était ramené à 58%. L'Etat s'occupe essentiellement des fonctions régaliennes, le contrat de travail d'un enseignant est le même que celui d'un employé du privé, et une grande partie des services publics (poste, transports publics...) ont été privatisés. On parle dorénavant de sociaux-libéraux pour évoquer ce parti, défait aux dernières élections pour ne pas avoir fait suffisamment reculer le chômage (7% de la population active, selon Eurostat) ni réduit les impôts.

Mardi 05 Juin 2007 23:10

Profitez-en ça va pas durer ! Émoticône
Message modifié 1 fois, dernière modification Mardi 05 Juin 2007 23:11 par megatop

Mardi 05 Juin 2007 23:12

Tu parles de quoi ?

Mardi 05 Juin 2007 23:42

Ouais enfin, jpc45, le Figaro qui parle des socialos, forcément ça casse facile...
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Mardi 05 Juin 2007 23:52

Cependant, peut-etre que le figaro n'a pas tort quand il dit que la PS a besoin de se renover et d'accepter l'economie de marché, sans pour autant cautionner le liberalisme à outrance.Le PS,si il continue à s'obstiner avec l'idéologie socialiste "de base", risque de devenir(et c'est bien dommage), ce qu'est à l'heure actuelle, le Parti Communiste, un truc completement obsolete qui fait 2% de voix.Cette idéologie socialiste ne suffit plus et il va falloir se "droitiser" un petit peu, accepter le liberalisme si il (le PS)ne veut pas mourrir!
C'est dommage, mais le courage de ses opinions ne suffit plus, car les gens ne croient plus à cette idéologie socialiste!(Et il faut virer Ségolene!)

Les gens de droite, n'ont peut etre pas tout le temps tort, et la lutte me semble bien vaine, il faut se faire à l'evidence que la gauche que nous avons connu, ne peut plus exister, il faut qu'elle change!
Vive le parti socialiste (ou Parti Social Démocrate) du 21e siècle!
Message modifié 1 fois, dernière modification Mardi 05 Juin 2007 23:54 par robinos33

Mardi 05 Juin 2007 23:54

C'est bizarre quand même, parce que tout le monde s'accorde à dire que le PS s'est droitisé, mais apparament c'est pas suffisant aux yeux de certains. Pourtant, le gouvernement Jospin a par exemple celui qui a le + privatiser. Et celui avec lequel il y a eu le + de croissance.

QUand on voit que Strauss Kahn a les mêmes idées que les gens de l'UMP, je vois pas trop ce que vous pouvez reprocher à la gauche.

Mercredi 06 Juin 2007 00:03

Des que tu prend une position un peu courageuse (le smic a 1500euros brut),les gens ont peur, et t'accusent d'utopie...C'est bien dommage, mais c'est le cas!

Mercredi 06 Juin 2007 00:09

Ha non, le SMIC à 1500€, on a surtout pris le PS pour des débiles mentaux vu que c'était une fausse promesse, le SMIC étant naturellement à 1500€ en 2012.

Mercredi 06 Juin 2007 18:50

Je viens de recevoir les professions de foi aujourd'hui.
Ca va me faire un peu de lecture...
C'est qu'il y en a , des candidats!!!

Mercredi 06 Juin 2007 18:56

Je sais pas si il y'a des chez vous aussi, uin parti que je viens de découvrir, le parti blanc!
Il prend en compte le vote blanc, et si le candidat est élu, il souhaite démissioner afin de refaire une elction avec de nouveaux candidats..

C'est original! Content

Mercredi 06 Juin 2007 20:51

Oui c'est une première !!! il va faire combien ? 0.0005 % ?

Jeudi 07 Juin 2007 11:20

En tout cas,il aura pas mon vote! Content
Et puis, je ne vois pas comments il est élu, le emc va faire pour faire organiser des elections avec des nouveaux candidats dans les partis Émoticône

Vendredi 08 Juin 2007 09:53

Citation de robinos33 :
Cette idéologie socialiste ne suffit plus et il va falloir se "droitiser" un petit peu, accepter le liberalisme si il (le PS)ne veut pas mourrir!

Émoticône (là, j'aurais bien mis un smiley qui dégueule, mais y a pas, dommage !)

Bravo, la gauche, faut qu'elle aille à droite ! Wahou ! C'est sûr que là, vous seriez tranquille ! Émoticône Émoticône
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Vendredi 08 Juin 2007 15:03

Ben si les gens ne croient plus dans les idéologies de gauche, il faut bien se remettre en question non?
Parce que Arlette ou le facteur ne remporteront jamais une election... et le PS, prend le chemin de ca.
M'enfin si vous voulez, l'ultralibéralisme et l'autoritarisme sarkozyste, continuez comme ca, et on va se le tapper pendant des décenies Clin d'oeil
Entre la peste (Sarkozy) ou la grippe (Le PS straus-kahnien, voire bayrouiste) , je prefere encore avoir la grippe Clin d'oeil
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