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Topic Politique

Mardi 29 Mai 2007 18:29

Pour pas que les propos se dispersent dans X topics différents, dans lesquels au bout d'un moment on retrouve le même discours de la part des uns et des autres (moi y compris) car tout converge, je crée un topic, où on pourra parler de toutes les mesures, réagir sur certaines décisions, discuter des avantages et inconvénients de telle ou telle orientation prise par le gouvernement, etc...

Ca permet aussi de ne pas avoir un topic orienté pour ou contre le gouvernement (cf Les promesses non tenues de Sarkozy par exemple).

On pourra y parler des législative aussi.

Tout ça pour éviter que les propos ne se dispersent.

Mardi 29 Mai 2007 18:32

http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3234,50-916250,0.html

Les mesures fiscales pourraient différer la baisse du marché immobilier
LE MONDE | 29.05.07 | 13h03 • Mis à jour le 29.05.07 | 14h04

Au cours de sa campagne électorale, Nicolas Sarkozy a martelé son souhait de voir les Français devenir tous propriétaires et veut donc encourager l'achat d'un logement en offrant un crédit d'impôt correspondant aux intérêts de l'emprunt immobilier souscrit.

La mesure est assurément populaire : "Nous sommes assaillis de questions par nos clients et avons dû, en toute hâte, former nos conseillers à ce nouveau dispositif dont nous ne connaissons d'ailleurs pas encore le détail", reconnaît Godefroy Bragadir, président du directoire d'Empruntis, site de courtage de prêts.


Seule certitude, elle s'appliquera aux acquisitions de résidences principales conclues à compter du 6 mai, jour de l'élection de M. Sarkozy. "Le gouvernement prend ainsi date pour éviter que les clients repoussent leur décision d'achat", explique M. Bragadir. "C'est une vraie bouffée d'oxygène dans un marché qui s'essouffle", se félicite Me Catherine Carély, notaire dans le Val-de-Marne.

Car les professionnels de l'immobilier ne le clament pas sur tous les toits, mais les ventes de logements neufs ont, au cours du 1er trimestre 2007, piqué du nez, et la tendance semble s'accentuer. "Nous avons fait un mois d'avril exécrable", reconnaît un promoteur. "Nous avons dû réactiver nos réseaux de vente pour écouler nos programmes", confirme Henry Buzy Cazaux, vice-président du promoteur Tagerim. "Le marché de l'ancien reste actif mais les acheteurs négocient âprement les prix", constate Me Carély.

"Le coup de frein dans la production de crédits immobiliers a été amorcé dès le 4e trimestre 2006, accusant une baisse de 0,4 % sur douze mois glissants, et s'est accentué au cours du 1er trimestre 2007, avec un recul de 5,7 % par rapport au trois mois précédents ", analyse Laurent Quignon, de BNP Paribas.

La mesure de déduction fiscale des intérêts d'emprunts tombe donc à pic , même si pour le moment ses modalités et son ampleur restent à préciser. Selon les plus récentes déclarations de Christine Boutin, ministre du logement, et d'Eric Woerth, ministre du budget, les acquéreurs de leur résidence principale bénéficieraient d'un crédit d'impôt, c'est-à-dire une somme défalquée de l'impôt à payer ou, pour ceux qui ne sont pas imposables, remboursée par le fisc. Ils pourraient ainsi déduire de leur impôt au moins 20 % des intérêts, sur une période de 5, 7 ou 10 ans.

La déductibilité des intérêts d'emprunts n'est pas une nouveauté, encore moins une rupture. Un dispositif similaire existait déjà avant 1997. Il s'agissait d'une réduction d'impôt de 25 % des intérêts acquittés pendant 5 ans. Mais les experts, en particulier la commission Ducamin, ont estimé que cette déduction fiscale avait été d'une efficacité toute relative pour déclencher des actes d'achat. Son montant modeste - 5 000 francs par ménage (762,25 euros) en moyenne - et son impact différé sur le budget des acquéreurs, qui n'en perçoivent le bénéfice qu'un an après l'achat du logement, n'ont pas réellement permis de doper le marché immobilier de l'époque.

En revanche, pour l'Etat, la dépense fiscale s'élevait tout de même à un petit milliard d'euros par an. Pour pallier ces inconvénients, la réduction d'impôt a été peu à peu remplacée par le prêt à taux zéro (PTZ), entré en vigueur le 1er octobre 1995, et qui est une autre forme d'allégement du coût du crédit, mais ciblée sur les revenus compris entre deux et trois smic. Que l'Etat rembourse aux accédants une partie des intérêts d'emprunts sous forme de crédit d'impôt ou les dispense de les payer au banquier revient un peu au même.

Depuis 1997, le prêt à taux zéro est réservé aux primo accédants et, bien que son montant soit limité, il a, selon le rapport d'évaluation de janvier 2002 du conseil général des Ponts et Chaussées, de l'inspection des finances et de Bernard Vorms, directeur de l'Agence nationale d'information sur le logement, accéléré le mouvement vers l'accession à la propriété.

Il aurait aussi été assez efficace comme déclencheur de l'acte d'achat dans 15 % à 17 % des opérations financées. "Autre vertu du PTZ : l'aide qu'il prodigue est d'autant plus importante que les revenus de l'accédant sont faibles", fait remarquer M. Vorms. "Il n'y a pas de meilleur instrument que le PTZ pour aider les ménages modestes à accéder au marché, d'autant que les banquiers le considèrent comme faisant partie de leur apport personnel et consentent en conséquence de meilleurs taux", renchérit Henry Buzy-Cazaux. En 2006, environ 235 000 prêts à taux zéro ont été distribués, pour un montant moyen de 15 350 euros et un coût budgétaire pour l'Etat d'environ 750 millions d'euros, et de 770 millions d'euros prévus en 2007.

La déduction des intérêts d'emprunts envisagée par le gouvernement devrait, elle, s'adresser à tous les acquéreurs à crédit de leur résidence principale, soit entre 700 000 et 800 000 ménages et se révéler plus favorable aux foyers aisés. "En année pleine, le coût budgétaire s'élèvera à 4 milliards d'euros", estime l'économiste Michel Mouillart. L'Etat a-t-il les moyens de suivre ?

Quant au risque de nourrir la hausse des prix en solvabilisant la demande, les économistes le relativisent : "L'impact sera epsilonesque", affirme M. Mouillart, "le nouveau dispositif va seulement différer l'inflexion du marché et le ralentissement des prix", prédit M. Quignon.

Isabelle Rey-Lefebvre

Mercredi 30 Mai 2007 19:04

Mais ils etaient tous morts ces économoistes pendant la campagne présidentielle?Sarkozy avait deja parlé de ca dans sa campagne, et personne n'a rien dit! Je n'ai fait qu'entendre des economistes qui louaient le programme de Sarkozy et là, ils s'acharnent sur lui, pourquoi ils ont pas parlé de ca avant les elections?
De plus, je ne vois que des cadeaux fiscaux de tous cotés, surtout pour les personnes les plus riches et j'entend parler de faire baisser la dette de l'Etat (plus trop en ce moment, il faut paraitre doux et sur de soi avant les législatives), j'aimerais bien qu'on m'explique comment c'est possible! Si je comprend bien, le service publique a du soucis a se faire, il y aura de plus en plus de sous-traitance et de moins en moins de qualité dans les services proposés...L'hopital publique(et semi-publique à but non lucratif) court à sa perte, en reduisant les couts de fonctionnement, en desengageant l'Etat, en instaurant une concurrence...
Enfin bon, j'ai l'impression que la france selon Sarkozy ce n'est pas la france qui revendique les valeur de solidarité, de liberté ou encore d'accueil .Et c'est bien dommage!



Autre chose, demain soir, je dois participer avec une vingtaine de personnes à un débat citoyen avec Noel Mamere, ancien candidat à la présidentielle et candidat Verts-PS à la députation dans ma circonscription.Les législatives étant des elections nationales, je me suis dit que vous aviez peut etre des question à poser en ce qui concerne la politique de notre pays...J'essairai d'enregistrer pour vous faire un compte rendu des reponses aux eventuelles questions posées.Je ne connais pas exactement le principe de ce débat donc je ne vous promet rien, mais ca ne coute rien d'essayer! Clin d'oeil

Mercredi 30 Mai 2007 19:07

C'est bien que le PS et les verts aient fait une liste commune dans ta circonscription.

Mercredi 30 Mai 2007 19:10

Ben face à Noel Mamere, le PS n'a aucune chance j'imagine Clin d'oeil

Mercredi 30 Mai 2007 19:11

Oui, certainement. Il est bien implanté du côté de Bègles et ça ne sert à rien de se tirer dans les pattes!

Samedi 02 Juin 2007 13:28

mercredi 30 mai 2007
[size=18]Désinformation sur le Venezuela[/size]

L’affaire ne pouvait être que de portée planétaire puisqu’elle a donné lieu, ces derniers jours, à des déclarations quasiment simultanées du Sénat des Etats-Unis, du Parlement européen et de la présidence allemande de l’Union européenne, sans parler des articles fleuves et des éditoriaux de la plupart des grands médias occidentaux. De quoi s’agit-il ? De l’Iran, du réchauffement climatique, de la Palestine, du Darfour ? Tout faux : la gravissime affaire en question est le non renouvellement, par le gouvernement vénézuélien, de la concession de 20 ans, venue à échéance le 27 mai, d’une chaîne de télévision privée, Radio Caracas Television (RCTV), afin d’installer sur sa fréquence hertzienne une chaîne de service public. C’est-à-dire exercer le droit souverain qu’a chaque Etat de disposer des biens publics rares que sont les fréquences hertziennes.

Atteinte aux droits de l’homme, à la liberté d’expression, censure, dérive autoritaire, totalitaire – voire fasciste –, toute la panoplie du vocabulaire rodé depuis des années contre le gouvernement de M. Hugo Chavez a été utilisée à nouveau massivement en cette circonstance.

Du côté politique, on retiendra d’abord la résolution votée à l’unanimité, le 24 mai, par le Sénat américain, en particulier par les aspirants démocrates à la succession de M. George Bush, contre la « fermeture » de RCTV. Votée précisément par les mêmes qui, reniant leurs promesses électorales, venaient, également à l’unanimité, de donner leur accord aux 100 milliards de dollars de crédits militaires demandés par la Maison Blanche pour la poursuite de l’occupation de l’Irak. Un bel exemple de rigueur démocratique.

Par la voix des services de Mme Angela Merkel, présidente en exercice du Conseil européen, l’Union européenne est également allée très loin dans l’hypocrisie. Dans une déclaration du 28 mai, elle « a noté avec inquiétude la décision du gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela de laisser expirer la licence d’émission de Radio Caracas Télévision (RCTV) le 27 mai, sans appel d’offres ouvert pour la licence qui lui succède ». On ne sache pas, entre maints autres « oublis », que l’Union ait fait semblable déclaration et ait exigé un nouvel appel d’offres lorsque la licence d’émission de TF1, accordée en 1987 pour 15 ans, a été reconduite par le gouvernement français en 2002 dans la plus totale opacité. Pourtant, la « télé-poubelle » de MM. Bouygues, Le Lay et Mougeotte avait tourné en dérision les engagements qu’elle avait pris dans son cahier des charges en invoquant son « mieux-disant culturel ». Tout indique qu’elle continuera impunément à le faire avec son nouveau patron, M. Nonce Paolini, flanqué de M. Laurent Solly, transféré du jour au lendemain du « staff » de M. Nicolas Sarkozy à sa filiale médiatique.

Pour ce qui est de l’abondante production des médias français, avant et après la date du non renouvellement de la concession de RCTV, la palme de la désinformation revient sans conteste, entre maints autres articles de la même veine, à l’éditorial d’un quotidien de référence, daté du 27-28 mai et intitulé « Censure à la Chávez ». Il vaut la peine d’en citer et d’en commenter quelques passages.

D’emblée le ton est donné : « Le président Hugo Chávez a ordonné la disparition de RCTV ». Non, RCTV ne « disparaît » pas : elle peut continuer à émettre sur le câble, par Internet et sur le satellite, et va sans aucun doute le faire. Mais, comme la loi le prévoit, sa fréquence hertzienne et sa couverture nationale reviennent au service public à l’échéance de la concession dont elle bénficiait. Ou bien faudrait-il considérer que cette concession à durée limitée de RCTV était, en fait, à durée illimitée ? Et cela en fermant les yeux sur ses multiples entorses à son cahier des charges qui lui avaient notamment valu d’être fermée pour des durées de 24 heures à 3 jours non pas par les gouvernements de M. Chávez, mais, en 1976, 1980, 1981, 1989 et 1991, par leurs prédécesseurs sociaux-démocrates ou démocrates-chrétiens. Depuis sa première élection à la présidence de la République en 1998, M. Chávez n’a fermé aucune station de radio ou de télévision ni poursuivi aucun journaliste. Pourtant, dans n’importe quel autre pays démocratique, c’est ce qui se serait passé, compte tenu de la caution ouvertement apportée par la plupart des médias – dont RCTV – au coup d’Etat avorté du 11 avril 2002, quand ce n’était pas à son organisation.

L’éditorial poursuit en dénonçant une décision politique « qui réduit le pluralisme et augmente la concentration de l’audiovisuel aux mains du gouvernement ». De quelle concentration s’agit-il ? En 2006, on comptait au Venezuela 20 chaînes hertziennes VHF privées et une publique. On comptait par ailleurs 28 chaînes hertziennes UHF privées, 6 publiques et 44 communautaires. Actuellement, avec l’incorporation de RCTV, le service public disposera de deux chaînes hertziennes VHF, de deux chaînes UHF et de deux chaînes sur la câble. On est très loin du monopole…

Sans la moindre trace d’ humour, l’éditorial qualifie ensuite RCTV de « chaîne privée qui donnait la parole à l’opposition ». RCTV donnait effectivement la parole à l’opposition, et ne faisait même que cela ! Des études de contenu effectuées sur le mois de janvier 2007 montrent que, dans ses programmes, elle a invité 21 personnalités hostiles au gouvernement, et aucune qui lui soit favorable. Le même mois, une des quatre autres grandes chaînes privées, Globovisión, a invité 59 opposants à M. Chávez et 7 de ses partisans. Seule Televen a respecté la parité : deux de chaque camp.

Certes on peut regretter que la seule chaîne publique hertzienne jusqu’ici contrôlée par le gouvernement, Venezolana de Television (anciennement Canal 8), ne soit pas non plus un modèle d’équilibre, mais comment pourrait-il en être autrement dans un paysage médiatique où la plupart des journaux, radios et chaînes de télévision se comportent en partis politiques d’opposition ? Il faut espérer que TVES, la chaîne qui reprendra le signal de RCTV, tiendra ses promesses de pluralisme, même dans ces circonstances adverses.

Du côté de la presse écrite, la situation est encore plus tranchée : sur 10 quotidiens de diffusion nationale, 9 sont des opposants déclarés au gouvernement. Si l’on étudie le contenu des articles d’opinion publiés dans quatre d’entre eux au mois de janvier 2007, on obtient les résultats suivants : pour El Nacional, 112 hostiles, 87 neutres et 6 favorables ; pour El Universal, les chiffres correspondants sont 214, 89 et 9 ; pour Ultimas Noticias, 31, 59 et 18 ; pour El Mundo, 49, 39 et 15. Ce qui ne les empêche pas de recevoir de la publicité des entreprises, des agences et des collectivités publiques.

Prétendre que la liberté d’expression est menacée au Venezuela relève donc de la plus insigne mauvaise foi. Il suffit de s’arrêter devant un kiosque à journaux ou de passer une heure devant un poste de télévision pour être convaincu du contraire. C’est même sans doute le seul pays du monde où, dans le passé, des appels publics à l’assassinat du président n’ont pas entraîné des poursuites judiciaires.

Mais alors, comme dirait M. Sarkozy, pourquoi tant de haine, pourquoi tant d’acharnement et de contre-vérités ? Que M. Chávez irrite au plus haut point les Etats-Unis et leurs alliés par sa politique de récupération des richesses naturelles nationales et par la dénonciation des politiques de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international peut parfaitement se comprendre. Que des médias appartenant à de grands groupes industriels et financiers répercutent les orientations et les intérêts de leurs commanditaires est dans l’ordre des choses. En revanche, on reste perplexe devant le comportement d’organes de presse où le pouvoir éditorial est officiellement déconnecté du pouvoir des actionnaires…

Bernard Cassen

Samedi 02 Juin 2007 15:15

article trouvé sur yahoo

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Strauss-Kahn ne veut plus d'une "gauche décalée par rapport à la réalité"

PARIS (AFP) - Dominique Strauss-Kahn a regretté samedi que la gauche soit "décalée par rapport à la réalité", critiquant durement la proposition de hausse du Smic à 1.500 euros, "loin des préoccupations des Français".

En déplacement dans le XIIe arrondissement de Paris pour soutenir Sandrine Mazetier, candidate socialiste aux législatives dans la 8ème circonscription, l'ancien ministre PS de l'Economie a critiqué les "réponses décalées par rapport à la réalité" apportées parfois par son parti.

Il a rapporté les propos d'un ouvrier rencontré récemment en Haute-Marne: "+Si le Smic passe à 1.500 euros, le patron va délocaliser, mais moi, ce que je veux surtout, c'est garder mon boulot+".

Et le député du Val-d'Oise de conclure: "il me donnait une leçon de réalisme, parce que le bien le plus précieux pour lui, c'était l'existence même de son emploi".

Lors de la campagne présidentielle, le projet du PS prévoyait de porter le salaire minimum à "1.500 euros au moins" en cinq ans.

"La gauche doit réfléchir sur elle-même, sans concession", a ajouté DSK, devant plusieurs dizaines d'habitants du XIIe arrondissement, tout en précisant qu'il ne visait personne et que les erreurs avaient été "collectives".

Concernant les législatives des 10 et 17 juin, M. Strauss-Kahn, qui avait été candidat à la primaire socialiste pour l'Elysée, a estimé que "malheureusement et presque certainement, il y aura une majorité de droite à l'Assemblée", même si "une élection n'est jamais perdue d'avance".

Il a rappelé le précédent de 1988, lorsque François Mitterrand, réélu à la présidence, n'avait eu ensuite qu'une majorité relative au palais Bourbon: "Si ça a existé une fois, ça peut exister d'autres fois".

Réfutant la théorie du "choc salutaire" pour le PS, qui pourrait venir d'une cuisante défaite à ces législatives, M. Strauss-Kahn a assuré ne pas être "pour la politique du pire" et, s'exprimant à la première personne, il a expliqué avoir "besoin" d'un "groupe socialiste le plus important possible".

Samedi 02 Juin 2007 15:25

Au risque de jouer au poète et à l'utopiste, le monde est ce qu'on en fait. Si on met tout en place pour favoriser le libéralisme à outrance, alors oui, la réalité sera l'ultra libéralisme (en exagérant).

Lundi 04 Juin 2007 13:41

Les législatives, c'est dimanche pour le 1er tour...

On en parle vraiment peu dans les médias, je trouve, comme si tout était déjà joué d'avance!

Allez, à gauche, on se mobilise pour éviter un raz de marée bleu ( bleu foncé... )!!!

Lundi 04 Juin 2007 13:48

Tu sais meme Noel Mamere nous a dit qu'il était certain de voir une vague bleue!Si les hommes politiques sont aussi désabusés que nous, on est mal!
Cela dit, il faut aller voter pour avoir le plus de députés possibles!

Lundi 04 Juin 2007 13:55

Après tout, sait-on jamais; on aura peut-être une bonne surprise!

En tout cas, oui, ça c'est sûr, il faut aller voter!

Lundi 04 Juin 2007 16:01

Citation de Zouzou :
Après tout, sait-on jamais; on aura peut-être une bonne surprise!

En tout cas, oui, ça c'est sûr, il faut aller voter!


ça c'est sur, on va y aller voter! Clin d'oeil


Sinon Robinos,tu nous avais pas dit que tu ferai un petit résumé du débat? Clin d'oeil

Lundi 04 Juin 2007 16:16

Euh oué mais honetement, je t'avoue que j'ai la flemme.
Et je t'avoue n'avoir pas appris grand chose de nouveau.

Lundi 04 Juin 2007 16:28

robinos33, tu m'as l'air bien dépité... Émoticône

Lundi 04 Juin 2007 16:33

ok...comme tu veux Content

Lundi 04 Juin 2007 16:40

Non non, pas du tout, mais ce débat ne fut pas long, et pas vraiment de trucs nouveaux!
Je sais juste qu'il n'y aura jamais de police municipale à begles tant que Mamere sera maire car il ne veut pas "devenir un sheriff"...
Il a bien sur critiqué le nouveau ministre de l'ecologie (Alain Juppé) qui ne veut pas d'un moratoire sur les OGM en plein champs (Mamere va d'ailleurs aller faucher quelques champs dans les landes) et qui a convoqué pleins d'associations écolos sans vraiment ecouter leur préoccupation.Il nous a démontré qu'il existait une écologie de droite et un écologie de gauche et que les verts sont profondément axés à gauche.il a un peu critiqué le PS en leur demandant d'abandonner leur profonde idéologie socialiste et de faire des concéssion.Il n'a pas exclu une fusion "verts-PS" en un seul parti de gauche avec, biensur, une composante écologiste.
Il m'a convaincu de voter pour lui,par sa personalité, sa connaissance du terrain (ma circonscription) ainsi que par ses nombreuses connaissances dans tous les sujets desquels nous avons discuté. Je fais meme désormais du comité de soutien de Mamere et de sa suppleante Naïma Charaï (PS) Clin d'oeil
Donc je ne suis pas totalement désabusé Zouzou , mais seulement réaliste Clin d'oeil

Lundi 04 Juin 2007 16:42

OK! En tout cas, je trouve ça bien de s'engager quand on est convaincu par des idées!

Lundi 04 Juin 2007 17:52

Je viens de lire une dépêche AFP: Sarkozy, Fillon et Kouchner se seraient inscrits à une course dans la baie de Somme le 24 juin...
Info ou intox, je n'en sais rien; toujours est-il que cette info n'est ni confirmée ni démentie pour l'instant...

Lundi 04 Juin 2007 18:31

Ils bossent quand les types ?
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