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Les paroles de chansons qui vous ont marqués

Mardi 17 Février 2009 22:12

Après les grandes répliques de cinéma, pourquoi ne pas partager les paroles de chansons ?

Je commence avec Souchon :

"On nous prend, faut pas déconner, dès qu'on est né, pour des cons alors qu'on est des...."

Foule sentimentale.

Mardi 17 Février 2009 22:43

"Il fait pas bon être pédé quand t'es entouré d'enculés "

Petit Pédé de Renaud

Mardi 17 Février 2009 23:11

"Mélissa non pleure pas ououuuuohhhh ouohhhh, car pour moi tu es la plus belle, tu me donne des ailes ..."

Minikeums

Gros souvenirs de jeunesse !

Sinon en plus sérieux:

Eminem - Stan
(Chanson magnifique qui a découvert Dido)

Mardi 17 Février 2009 23:51

De mon pote Bénabar.

Monospace (si si c'est le titre)

"Au volant d'un monospace
Avec un cercle en plastique
On appuie dessus, ça sort, ça fait porte-gobelet
Pour ranger les pièces de monnaie" etc... etc...

Et après, y'en a encore qui disent que c'est pas d'la chanson ça ? Émoticône
e pericoloso sporgersi

Mercredi 18 Février 2009 00:37

ca va dech dech dechiré ce soir mon ami jean claude convenant

Mercredi 18 Février 2009 01:30

Louis Aragon par Brassens : Il n'y a pas d'amour heureux http://forum-images.hardware.fr/images/perso/cerveau%20sisicaivrai.gif

(voilà, il manque des smileys subtils)

Citation de Loulou Aragon :
Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Ces couteaux de table / Aux reflets changeants / Sont inoxydables / Eternellement

Mercredi 18 Février 2009 09:55

La Montagne de Jean Ferrat: une chronique de la vie des gens de la montagne en quelque sorte: J'aime beaucoup.
Là-bas de J.J. Goldman: c'est surtout l'association clip + paroles qui m'a marquée.
J'allais oublier Renaud dans les années 80/début 90: Miss Maggy, Jonathan, etc.
Message modifié 1 fois, dernière modification Mercredi 18 Février 2009 10:43 par cbs1

Mercredi 18 Février 2009 10:07

Caroline

Pyromane de ton coeur,
canadair de tes frayeurs,
Je suis l'as de trèfle qui pique ton coeur,
carreaux... ce message vient du coeur.

Je repense à elle, femme actuelle, 20 ans, jeune et jolie.

Mercredi 18 Février 2009 10:32

Fils de pécore et de minus {x2}
Ris par de la pauvre Vénus {x2}
La pauvre vieille casserole
Parole, parole
La pauvre vieille casserole

Il s'en fallait de peu, mon cher {x2}
Que cett' putain ne fût ta mère {x2}
Cette putain dont tu rigoles
Parole, parole
Cette putain dont tu rigoles

G.B.

et puis aussi :

Jugeant qu'il n'y a pas péril en la demeure
Allons vers l'autre monde en flânant en chemin
Car, à forcer l'allure, il arrive qu'on meure
Pour des idées n'ayant plus cours le lendemain
Or, s'il est une chose amère, désolante
En rendant l'âme à Dieu c'est bien de constater
Qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée
Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort len-en-en-te

Mercredi 18 Février 2009 11:22

De Renaud : C'est quand qu'on va où ?

"C'est quand même un peu galère
D'aller chaque jour au chagrin
Quand t'as tell'ment d'gens sur Terre
Qui vont pointer chez "fous-rien"
'vec les d'voirs à la maison
J'fais ma s'maine de soixante heures,
Non seul'ment pour pas un rond
Mais en plus pour finir chômeur!

Veulent me gaver comme une oie
'vec des matières indigestes,
J'aurais oublié tout ça
Quand j'aurai appris tout l'reste,
Soulève un peu mon cartable,
L'est lourd comme un cheval mort,
Dix kilos d'indispensable
Théorèmes de Pythagore !

Si j'dois avaler tout ça
Alors je dis : 'Halte à tout ! '
Explique-moi, Papa,
C'est quand qu'on va où ?"
e pericoloso sporgersi

Mercredi 18 Février 2009 11:34

http://video.google.com/videosearch?q=medine&rls=com.microsoft:*:IE-SearchBox&oe=UTF-8&sourceid=ie7&rlz=1I7ADBF_fr&um=1&ie=UTF-8&sa=N&hl=fr&tab=wv#q=medine+revolution&hl=fr&emb=0

Mercredi 18 Février 2009 12:04

Words like violence
Break the silence
Come crashing in
Into my little world
Painful to me
Pierce right through me
Can't you understand
Oh my little girl

All I ever wanted
All I ever needed
Is here in my arms
Words are very unnecessary
They can only do harm

enjoy the silence de Depeche mode.

Mercredi 18 Février 2009 12:11

Y'a pas qu'les mômes dans la rue
Qui m'collent au cul pour une photo
Y'a même des flics qui me saluent,
Qui veulent que j'signe dans leur calot.

Moi j'crache dedans et j'crie bien haut
Que l'bleu marine me fait gerber
J'aime pas l'travail, la justice et l'armée.

RENAUD (encore) - Où c'est qu'j'ai mis mon flingue ?
-------------------------------------------------
Aucun express ne n’emmènera vers la félicité
Aucun tacot n’y accostera
Aucun Concorde n’aura ton envergure
Aucun navire n'y va
Sinon toi

J’ai longé ton corps
Epousé ses méandres
Je me suis emporté transporté
Par delà les abysses par dessus les vergers
Délaissant les grands axes
J’ai pris la contre allée
Je me suis emporté transporté ...

Alain BASHUNG - Aucun express
Message modifié 1 fois, dernière modification Mercredi 18 Février 2009 12:12 par Alain SOLENT

Mercredi 18 Février 2009 12:46

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand ?

Bercé d'humiliation, de haine et d'ignorance
Nourri de rêves de revanche
Aurais-je été de ces improbables consciences
Larmes au milieu d'un torrent

Si j'avais grandi dans les docklands de Belfast
Soldat d'une foi, d'une caste
Aurais-je eu la force envers et contre les miens
De trahir: tendre une main

Si j'étais née blanche et riche à Johannesburg
Entre le pouvoir et la peur
Aurais-je entendu ces cris portés par le vent
Rien ne sera comme avant

On saura jamais c'qu'on a vraiment dans nos ventres
Caché derrière nos apparences
L'âme d'un brave ou d'un complice ou d'un bourreau?
Ou le pire ou plus beau ?
Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d'un
troupeau
S'il fallait plus que des mots ?



Et qu'on nous épargne à toi et moi si possible très
longtemps
D'avoir à choisir un camp


JJ Goldman " né en 17 a leidenstadt
Message modifié 1 fois, dernière modification Mercredi 18 Février 2009 12:48 par blockhaus
si nous avons une propension a la grandeur nous en avons aussi une a la connerie

Mercredi 18 Février 2009 12:56

Houla Houla Houlala
Houla Houla Houlala
Houla Houla Houlala
Houla Houla Houlala
Houla Houla Houlala
Houla Houla Houlala
Houla Houla Houlala
Houlala j'ai mal !

Ludwig von 88 "Houlala"
Émoticône
Message modifié 1 fois, dernière modification Mercredi 18 Février 2009 12:57 par Francis
Hardbat France, pour le développement du hardbat en France http://www.hardbat-france.fr

Mercredi 18 Février 2009 13:11

Émoticône excellent francis !!!! n'ayez crainte ophélie nous allons déboiser avec votre coupe ongle .
si nous avons une propension a la grandeur nous en avons aussi une a la connerie

Mercredi 18 Février 2009 13:43

Losque j'étais gamin il y avait un groupe français qu s'appelait "Il était une fois".

Un des morceaux avait ce couplet : "J'ai encore rêvé d'elle, que les draps s'en souviennent".
Du haut de mes 6-8 ans je ne comprenais pas le sens de cette phrase.

Quelques années plus tard, j'ai compris ce que çà voulait dire...

Mercredi 18 Février 2009 14:40

Deux me viennent à l'esprit :

Citation de Francis Cabrel dans 'C'était l'hiver' :

Elle disait :
"J'ai déjà trop marché
Mon cœur est déjà trop lourd de secrets
Trop lourd de peines"
Elle disait: "Je ne continue plus
Ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu
C'est plus la peine"

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son cœur

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son cœur

Le vent n'a jamais été plus froid
La pluie plus violente que ce soir-là
Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu
Derrière la façade de ses yeux
Dans un éclair blanc

Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon cœur

Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon cœur


&

Citation de Pierre Bachelet dans 'Embrasse-là' :

De cantines en écoles elle m'a traîné
De fièvres en rougeoles elle m'a veillé
C'est sur les plages douces de son corps
Que je suis né sans trop d'effort
Et dès les premiers mots
Elle m'a donné ma langue maternelle
Avec un peu d'accent tombé du ciel
Puis les ans sont passés à notre insu
Quand je la vois trotte menu
Une voix me dit :

[Refrain] :
Embrasse -la
Chante-la
Protège-la
Elle a les yeux et le cœur lilas
Embrasse-la
Chante-la
Protège-la
Elle a les cheveux en hiver déjà

Bien sûr je suis parti vers les quinze ans
Je la revois d'ici pauvre maman
Quand je suis revenu elle n'a rien dit
Elle avait juste un peu vieilli
Et j'ai compris

[Refrain]

Et quand je vais la voir chaque semaine
Qu'elle lit dans mon regard ma vie mes peines
Elle se fait d'un dîner une tendre fête
Mais en pensant demain peut-être
Je partirai

Mercredi 18 Février 2009 14:40

Deux me viennent à l'esprit :

Citation de Francis Cabrel dans 'C'était l'hiver' :

Elle disait :
"J'ai déjà trop marché
Mon cœur est déjà trop lourd de secrets
Trop lourd de peines"
Elle disait: "Je ne continue plus
Ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu
C'est plus la peine"

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son cœur

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son cœur

Le vent n'a jamais été plus froid
La pluie plus violente que ce soir-là
Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu
Derrière la façade de ses yeux
Dans un éclair blanc

Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon cœur

Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon cœur


&

Citation de Pierre Bachelet dans 'Embrasse-là' :

De cantines en écoles elle m'a traîné
De fièvres en rougeoles elle m'a veillé
C'est sur les plages douces de son corps
Que je suis né sans trop d'effort
Et dès les premiers mots
Elle m'a donné ma langue maternelle
Avec un peu d'accent tombé du ciel
Puis les ans sont passés à notre insu
Quand je la vois trotte menu
Une voix me dit :

[Refrain] :
Embrasse -la
Chante-la
Protège-la
Elle a les yeux et le cœur lilas
Embrasse-la
Chante-la
Protège-la
Elle a les cheveux en hiver déjà

Bien sûr je suis parti vers les quinze ans
Je la revois d'ici pauvre maman
Quand je suis revenu elle n'a rien dit
Elle avait juste un peu vieilli
Et j'ai compris

[Refrain]

Et quand je vais la voir chaque semaine
Qu'elle lit dans mon regard ma vie mes peines
Elle se fait d'un dîner une tendre fête
Mais en pensant demain peut-être
Je partirai

Mercredi 18 Février 2009 15:53

Les Wampas - Manu Chao

Je chante dans les Glaviots, un groupe punk de Normandie
On répète dans la grange tous les mardis et les jeudis
Quand, au bout d'un quart d'heure, on a assez fait de bruit
On s'assoit dans le foin et on chante ce refrain

Si j'avais le portefeuille de Manu Chao
Je partirais en vacances au moins jusqu'au Congo
Si j'avais le compte en banque de Louise Attaque
Je partirais en vacances au moins jusqu'à Pâques
C'est beau la Normandie, comme le dit ma grand'tante Marie,
Mais si j'avais du blé je partirais bien loin d'ici
Souvent les soirs d'été, je m'assois dans les champs de blé
Je ferme doucement les yeux et j'écoute les pommiers chanter

Si j'avais le portefeuille de Manu Chao
Je partirais en vacances avec tous mes potos
Si j'avais le compte en banque de Louise Attaque
Je partirais en vacances au moins jusqu'à Pâques

Si j'avais le portefeuille de Manu Chao
Je partirais en vacances dans une superbe auto
Si j'avais le compte en banque de Louise Attaque
Je partirais en vacances au moins jusqu'à Pâques
Moi aussi, si je pouvais, j'irais bien jusqu'au Mexique
Boire de la téquila avec le commandant Marcos
Mais j'ai encore au moins cinq hectares à labourer
Je remonte sur mon tracteur et je chante pour me donner du coeur

Si j'avais le portefeuille de Manu Chao
Je partirais en vacances au moins jusqu'au Congo
Si j'avais le compte en banque de Louise Attaque
Je partirais en vacances au moins jusqu'à Pâques
Mais j'ai pas un beau chapeau comme Manu Chao
Et j'irai en vacances seulement à Saint-Lô
Et j'ai pas de la classe comme Didier Wampas
Je resterai pour les vacances
Tout seul avec mes vaches

Si j'avais le portefeuille de Manu Chao
Je partirais en vacances avec tous mes potos
Si j'avais le compte en banque de Louise Attaque
Je partirais en vacances au moins jusqu'à Pâques

Elle me faisait tripper à l'époque

Metallica - Nothing else matters

So close no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never opened myself this way
Life is ours, we live it our way
All these words I don't just say
And nothing else matters

Trust I seek and I find in you
Every day for us something new
Open mind for a different view
And nothing else matters

Never cared for what they do
Never cared for what they know
But I know

So close no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never cared for what they do
Never cared for what they know
But I know

Never opened myself this way
Life is ours, we live it our way
All these words I don't just say
And nothing else matters

Trust I seek and I find in you
Every day for us something new
Open mind for a different view
And nothing else matters

Never cared for what they say
Never cared for games they play
Never cared for what they do
Never cared for what they know
And I know

So close no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
No nothing else matters

Elle me rappelle mon cousin, parce que c'est celle-là qui est passée à son enterrement ...
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