Lundi 17 Février 2014 08:20
Mardi 18 Février 2014 09:12
Oui Xyphis, tu as raison. D'ailleurs, c'est ce que fait notre meilleur joueur du club.Samedi 22 Février 2014 17:43
le sentiment de ne plus progresser, j'ai connu cela tant de fois depuis que j'ai commencé le ping il y a 20 ansDimanche 23 Février 2014 15:08
Dépression pongistique ? Quel drôle d'expression, un oxymore ?. Ces mots résonnent étrangement à mes oreilles. Qu'est ce que cela pourrait bien être? Une vraie baisse de moral ? Dans ce cas, elle a des causes extérieures au ping. Ce que je veux dire c'est que le psychisme est un tout. On ne peut pas être moralement au top sur plan familial ou sur le plan professionnel et être en dépression au niveau du ping. Soit le cerveau est en dépression, soit il ne l'est pas, mais en aucun cas il peut être en dépression dans un domaine et ne pas l'être dans un autre. Quand on est en dépression, on l’est totalement ou on l’est pas. Ce qui rend absurde l’association des deux mots. Ce sont les mêmes cellules grises qui sont mobilisées. Après il peut s'agir d’une légère baisse de moral. Une baisse de moral qui serait lié au fait qu'on s’entraîne plus du tout est tout à fait logique. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Une baisse de moral qui serait liée à une fatigue ou à une saturation, c'est la nature normale des choses. Les défaites à répétition peuvent également influencer le moral des troupes. Mais en aucun cas il est question de dépression. Au fond de soi, on sait parfaitement qu’avec un autre contexte, par exemple un partenaire d’un très bon niveau qui a les clés de la salle et qui est disponible justement quand on est disponible et qui veut bien s’entraîner avec vous, peut radicalement changer la donne. Et hop! Le niveau de jeu et le moral reviennent instantanément en deux temps trois mouvements. En revanche de vrais soucis dans la vie peuvent causer une dépression qui se répercute forcément au niveau du ping. Dans ce cas il ne faut pas chercher une solution niveau du ping mais au niveau de la médecine.Lundi 24 Février 2014 09:43
Pour ma part, j'ai plutot interpreté ce sujet comme une déprime pongiste qu'une dépression... Effectivement, la dépression est une maladie et n'a pas grand chose à voir avec le ping mais je trouve le titre accrocheur et l'expression marrante (meme si je n'en suis pas l'auteur)Lundi 24 Février 2014 11:19
Il ne faut pas tomber du côté obscure de la force....et ne pas se laisser séduire par cette pseudo facilité. Il faut se battre et puis se dire que l'on ne peut pas toujours gagner et que c'est à travers les défaites que l'on apprend.Lundi 24 Février 2014 21:49
Mardi 25 Février 2014 00:25
J'ai changé mon attitude envers le ping, il y a peu de temps. Je suis conscient que je n'ai pas de don pour le ping, que je ne serais jamais un super haut classé, que je n'ai pas de prédispositions physiques requises ni la motivation pour supporter les paniers de balles aux entraînements...fini la déprime ( le mot "dépression" sonnait tellement mieux quand j'ai crée ce sujet, j'étais sur d'avoir des clients sur mon topic ! ) pongistique et je ne joue uniquement que pour m'amuser ! Certes, j'aime toujours autant gagner et je prends plaisir à chaque progression technique, même miniscule mais surtout, s'il y a un jour où je suis à côté de mes pompes, où absolument rien ne passe, où je fais quatre contres à 3 classements en dessous de moi, et bien ... JE M'EN FOOOOOOOOUS !Mardi 25 Février 2014 21:56
Tous ceux qui s’intéressent un peu à l’exploration des causes véritables te confirmeront qu’une baisse de moral est forcément générale puisqu’elle affecte tout l'humain dans son ensemble. Cette baisse se répercute dans tous les domaines de la vie sans aucune discrimination. Alors pourquoi ne ressent on pas la baisse de moral dans les autres secteurs de la vie, me diras-tu ? Très bonne question ! Parce qu’on peut conduire pendant des heures sans avoir l’impression qu’on a une baisse de moral. Parce qu’on peut aussi préparer un bon repas sans avoir le moral. Parce qu’il est souvent possible de réaliser son travail sans avoir le moral. Et tout cela, parfois, sans jamais avoir conscience qu’on n’a pas le moral !Mercredi 26 Février 2014 09:02
Je vois bien la différence entre les deux personnellement.Mercredi 26 Février 2014 09:36
@Gringo31 : moi aussi j'ai pratiqué d'autres sports que le ping, et au volley il était impensable de commencer à toucher la balle sans avoir couru un minimum et fait quelques échauffements, les abdos/pompes étaient fréquents même à niveau départemental. Au ping on a la chance (ou la malchance) de pouvoir jouer tout de suite sans se claquer un muscle, du coup tout le monde feignante. Perso j'ai fait mon choix, je cours et je fais de la corde à sauter quitte à passer pour un débile, mais je préfère ça à avoir la sensation de ne pas profiter de mon ping faute d'échauffement correct. J'ai la joie de voir certains coéquipiers embrayer parfois.Mercredi 26 Février 2014 09:52
En tout cas, bravo à toi de ne pas te soucier du "mauvais" regard d'autrui et des éventuelles moqueries... il faut une grosse dose de confiance en soi (et, oui, un de mes gros défauts) et de courage.Mercredi 26 Février 2014 15:55
Pour l'échauffement ça ne tient qu'à toi. Je ne vois pas en quoi tu serais ridicule, et puis le ridicule ne tue pas.Mercredi 26 Février 2014 19:13
Mercredi 26 Février 2014 19:36
Mercredi 26 Février 2014 19:51
Mercredi 26 Février 2014 20:00
Mercredi 26 Février 2014 22:53
Mince voilà qu'on veut me psychanalyserJeudi 27 Février 2014 09:24
En tout cas, on fait des économies de psy, c'est toujours ça!!Jeudi 27 Février 2014 13:57
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