le débit internet n'est pas le facteur principal pour avoir de bonne performance...
et moi je suis a 8 mega rien avoir avec tes 512k FRY mais comme ton ordi est plus
puissant tu a des videos fluides sur youtube par exemple et moi pas....
Ce que l'oeil voit et l'oreil entends l'esprit le croit !
Oh là là, Prison Break, c'est reparti et personne n'en parle. J'ai ma petite idée là-dessus : la saison 3 n'aurait jamais du exister, à force de délayer une sauce ça devient de la flotte. L'épisode 9 est mal écrit, mal réalisé, mal joué (bon ça on le sait dès qu'on voit Wentworth Miller à l'écran sourcils froncés et murmurant dans un souffle sans arrêt avec l'air constipé), une catastrophe.
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On sait que cette histoire de prison panamèenne est parfaitement ridicule, les prisons centrales ou sud américaines ne doivent pas être des paradis, mais c'est l'usine à clichés et à préjugés. L'ex baron de la drogue qui tient la zonzon avec ses lieutenants, le tout gradés par des militaires qui braquent tout prisonnier dès qu'ils le voient.
Mais là on atteint des sommets.
Apparition de la "hot box" : j'ai eu l'impression d'être dans un jeu de télé réalité, avec l'apparition d'un nouvel élément. Pourtant cette pauvre cour de prison a tellement été balayée de droite à gauche et de vue aériennes et zooms avant/arrière, on aurait aps pu la louper. Mais non, elle est là avec sa cellophane, elle a poussé comme un champignon, et y'a même pas Pierre Bellemarre pour tenter de nous faire croire à sa génération spontanée.
Encore des scènes de torture : c'est la mode depuis quelques années dans les drama US (24, Lost,...), c'est inquiétant. Et puis une décapitation comme dans un des épisodes précédents, ça ne choque plus personne, même pas LJ. L'irak est passé par là, c'est du banal, va falloir trouvé mieux : une lente crémation à la lampe torche, personne ?
Un général con comme ses pieds : alors monsieur ressemble plus à un VRp en savonnettes ou à un acteur de troisième zone en fin de carrière (ah mince, c'est ça) qu'au type qui arrête les plus puissants des narco-trafiquants, passons. Mais que ce neuneu n'ait pas l'idée de faire suivre Gretchen, c'est à flinguer du scénariste. D'ailleurs, ils sont en grève, l'épisode devait être une ébauche, les producteurs s'y sont collés et nous ont pondu cette bouse.
Toujours le général : évidemment, quand une prison se fait attaquer par deux hélicoptères, comment accompagne-t-on le cerveau de l'opération jusqu'à sa base ? Ben ouais, tout seul avec un chauffeur. Alors la scène ou ce balourd se fait dézinguer avec son soldat est une des plus mal filmées que je n'ai jamais vu : on dirait de l'AB Productions, du sous Navarro : on dirait de la DV amateur, ou une scène d'action en attendant la scène de cul dans un porno.
Et que dit ce crétin de Scofield du général qui vient de le torturer et de torturer l'autre gonzesse, quand il aprend sa mort : « Je suis désolé de l'apprendre, ça semblait être un gars bien ». Ouais, un gars bien... Un gars qui torture sans hésitation, c'est un gars bien. Un gars con comme ses rangers, c'est un gars bien. Scofield, il a eu un peu trop chaud à la tête.
Et bien évidemment, personne d'autre que le général n'était sur la piste qu'il suivait, ce qui fait qu'on imagine qu'elle va être abandonnée, et qu'il va y avoir une brève enquête sur sa mort. « Comment, quel général ? C'est un représentant en uniformes ! » <